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la douance

Vous trouverez ici les informations que nous jugeons pertinentes pour l'ensemble de la population. De plus, certains liens vers des sites crédibles externe vous sont proposés. Votre besoin va au delà de ces informations? 

Analogie du zèbre

On attribue à la psychologue Jeanne Siaud-Facchin, l'analogie du Zèbre. Elle présente cette analogie dans son livre Trop intelligents pour être heureux? (2014). Mélanie Poinas, autrice du blogue Suivez le Zèbre, explique le fondement de l’analogie. Le terme a été choisi pour désigner les personnes douées ou les profils à haut potentiel parce que, même s’ils se ressemblent avec leurs rayures noires et blanches, chaque zèbre a un motif unique, comme une empreinte digitale. Dans un troupeau, il peut être difficile de les différencier, mais ils sont tous différents. C’est pareil pour les personnes douées : chaque profil a ses propres caractéristiques qui permettent de reconnaître le haut potentiel, tout en rendant chaque personne unique. 

La double exceptionnalité (2E ou twice)

On parle de double exceptionnalité lorsqu’un individu présente une douance et qu’il présente aussi un trouble (neurodéveloppemental, de santé mentale, de l’apprentissage, physique…). Les connaissances sur le sujet sont encore limitées. On ignore la prévalence des individus 2E. La combinaison de la douance et d’un trouble peut apporter une certaine complexité dans la situation d’une personne. 

Quand le syndrome de l'imposteur prend le dessus

Le syndrome de l'imposteur expose les personnes douées à un risque d'épuisement professionnel, que ce soit par la surcharge de responsabilités pour compenser un sentiment d'incompétence, ou par la procrastination et le désengagement.  

Ces manifestations peuvent également se retrouver chez les personnes qui ne sont pas douées. Aucune liste ne permet d'identifier une douance avec certitude. La douance intellectuelles se manifeste de manières différentes en fonction des caractéristiques personnelles de l'individu ainsi que de l'environnement dans lequel il évolue.

Quelques pistes de solutions
  • Structurer ses idées - Parfois difficile à expliquer ses pensées. Apprendre à revoir ses idées à l’envers, en identifiant les étapes sautées, les aider à mieux se faire comprendre et à structurer leur raisonnement. ​

  • Favoriser la prise de recul - Apprendre à réfléchir sur ses expériences  aide à mieux se connaître et à définir ses objectifs. Des outils comme un journal ou la méditation peuvent être très utiles. ​

  • Surmonter le sentiment d'imposteur - Se sentir imposteur est un problème fréquent. Mieux se connaître peut renforcer sa confiance en soi et reconnaître son succès. Cela permet de se sentir plus en sécurité dans ses capacités.  ​

  • Renforcer la résilience - Voir les échecs comme des opportunités d’apprendre pour se rendre plus fort face aux difficultés.  ​

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